Die schon wieder 🙄 User Gunnar
hat sie ja heute gelobt. Ich denk … sach ma nix … aber nun kommt sie nobody
selbst zu Hilfe: Lamya Kaddor
… angeblich liberale Islam-Geleerte … die Tussi ist brandgefährlich, weil sie den Koran und Islam verniedlicht der nächsten Generation von Terror-Koranisten näherbringen will. Dieses üble Islam-U-Boot heute im Schweizer Taggi zu Silvester in Köln: „Den Tätern ging es vor allem um Diebstähle. Die sexuellen Übergriffe waren ein Ablenkungsmanöver, um die Frauen ausrauben zu können.“ Fängt schon gut an … und falsch … Woher weiß die Tante das? Aber wird noch besser:
- Wenn wir schon von massenhaften sexuellen Übergriffen sprechen, müssen wir feststellen, dass wir das in Deutschland schon längst kennen. Beim Oktoberfest in München oder beim Kölner Karneval kommt es gehäuft vor, dass stark alkoholisierte und enthemmte deutsche Männer Frauen sexuell bedrängen und belästigen. Aber das wird gerne als Kollateralschaden dieser Veranstaltungen abgetan. Es gibt keinen Unterschied zwischen der einen sexuellen Gewalt und der anderen.
Dazu Joachim Güntner in der NZZ:
- will uns Kaddor wirklich weismachen, solche Übergriffe wie die von Silvester gehörten zu den Üblichkeiten in Deutschland? Als ob ein Bahnhofsvorplatz ein Bierzelt auf dem Schützenplatz sei, als hätten sexuelle Attacken sogar gegen Polizistinnen Tradition, als sei die Zusammenrottung von Hunderten von Männern, die Frauen in aller Öffentlichkeit begrabschen und anpöbeln, altbekannt. Wir hätten es also nicht mit der unerhörten Etablierung eines rechtsfreien Raumes mitten im Stadtzentrum zu tun, wobei die Dreistigkeit sich nur erklären lässt, wenn man auch die Fremdheit der Täter in den Blick nimmt – ihre Fremdheit gegenüber dem, was zu den kulturellen (und rechtlichen) Normen der deutschen Zivilgesellschaft gehört? Man darf schon staunen über Kaddors Expertise.
Joachim Güntner, ein Kenner der deutschen Szene, hat noch ein Episödchen zu bieten:
- Eine kleine Geschichte zum Schluss. Leipzigs bester Techno-Tempel nennt sich «Institut für Zukunft». Man ist dort liberal und progressiv auf jene Weise, wie es sich für die Szene gehört, Kondome gibt es bei Bedarf kostenlos an der Garderobe (ein Schild weist extra darauf hin), migrantenfreundlich möchte man auch sein. Dass in der Nähe gerade ein Zeltlager für Flüchtlinge entstand, hatte sich herumgesprochen. Also spendierten die Veranstalter in der Adventszeit interessierten Flüchtlingen freien Eintritt.
So voll mit arabischen und afrikanischen Männern hat man den Laden nie zuvor gesehen. Lauter Techno-Neulinge, die nicht wussten, dass die leichte Bekleidung der Tänzerinnen keine Einladung zum Begrabschen ist, und die nicht verstehen wollten, dass ein weibliches «No» tatsächlich Nein bedeuten kann. «So macht feiern keinen Spass», berichtete anderntags eine Freundin der andern, grässlich sei es gewesen. Dabei hatten sie sich doch bisher als unbedingte Anhängerinnen der Willkommenskultur gesehen! Aber wie das so ist, wenn die Realität einmal ganz nah, körpernah, ihre Schattenseiten zeigt – man lernt dazu und kommt ins Grübeln.
Und nobody
bietet der Trulla was von Riss, dem Chef von Charlie Hebdo zum Jahrestag des Anschlags in Paris, sein gestriges Editorial … komplett 😛
- CRÈVE, CHARLIE ! VIS, CHARLIE !

La vérité, c’est que, dès cette époque, beaucoup espéraient qu’un jour quelqu’un viendrait nous remettre à nos places. Oui, beaucoup ont espéré qu’on se fasse tuer. TU-ER. Parmi eux, des fanatiques abrutis par le Coran, mais aussi des culs-bénits venus d’autres religions, qui nous souhaitaient l’enfer auquel ils croient, pour avoir osé rire du religieux. Sans oublier ce marigot d’intellos aigris, de chroniqueurs insipides et de journalistes jaloux, qui font bien gaffe où ils mettent les pieds sur le chemin de leur carrière en évitant soigneusement de dire quelque chose de sincère. Cette nef de fous et de lâches souhaitait notre mort. Les religieux parce qu’on avait blasphémé, les autres parce que Charlie Hebdo avait toujours été une anomalie dans le paysage médiatique français.
Les créateurs de Charlie, Cavanna, Choron, Gébé, Cabu, Wolinski, Willem, étaient des marginaux mais avec un talent béni des dieux. Eux qui ne croyaient pas en Dieu. On ne peut créer ce qu’ils ont créé, écrire ce qu’ils ont écrit, dessiner ce qu’ils ont dessiné qu’en se foutant de tout. D’abord, de Dieu, et ensuite du reste. Rien à foutre de plaire au plus grand nombre, de séduire les masses tristes et de charmer les diplômés ennuyeux. Rien à foutre de rien. En tout cas du maximum possible. C’est ainsi qu’il a fallu faire Charlie pendant des années. En ne pensant qu’au plaisir de se retrouver ensemble le mercredi matin pour parler et déconner de tout, seule manière d’oublier ceux qui souhaitaient notre mort.
À Charlie, on a souvent pensé à la mort. D’abord, la mort économique. Quand le Charlie Hebdo de la première époque rendit l’âme, en 1982, ruiné, un quotidien avait titré « Crève, Charlie ! ». Toute la presse avait chié sur « Charlie-Hebdo ». C’était le titre du dernier numéro, car c’était la vérité. Ce journal ne méritait plus d’exister, il n’intéressait plus personne, il n’avait pas su se renouveler, etc. Les croque-morts se bousculaient au portillon pour être celui qui clouerait la planche sur le cercueil de Charlie Hebdo.
La mort a toujours fait partie de ce journal. Sa reparution en 1992 fut presque contre nature. Un journal qui avait rendu l’âme dix ans plus tôt n’avait pas le droit de vivre à nouveau. Il s’ensuivit un procès suscité par Choron, qui gueulait à qui voulait l’entendre que Charlie était mort et que, lui vivant, il ne reparaîtrait jamais. Puis ce fut ces procès innombrables à l’initiative de cathos fanatiques qui auraient aimé nous faire succomber économiquement. Malgré leur acharnement et des dizaines de procès débiles pour des dessins sur le petit Jésus ou la Sainte Vierge, le journal, comme le canard, courait encore.
Les premiers numéros de Charlie Hebdo auxquels nous participâmes, Charb, Luz, Tignous, Honoré, Bernard, Cabu et moi, étaient angoissants, car nous ne savions pas si le journal allait vivre bien longtemps. Quand, au bout de deux ans d’existence fragile, nous atteignîmes le numéro 100, on n’en croyait pas nos yeux. On était encore vivant. Et, à l’issue de chaque année écoulée, nous nous émerveillions d’être toujours en vie. J’ai toujours travaillé depuis le premier jour de sa reparution, en 1992, avec l’idée que tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain. Que le journal pouvait disparaître aussi vite qu’il était réapparu, en moins d’une semaine. Je n’ai jamais considéré le privilège de s’exprimer dans un journal, dans cette démocratie, comme un dû. Rien ne nous est dû. Créer un journal a toujours été extraordinairement difficile, depuis Louis-Philippe, qui faisait emprisonner les journalistes et les dessinateurs, jusqu’à de Gaulle, dont les godillots censuraient ceux qui osaient en rire.
Le journaliste n’est pas propriétaire de la liberté d’expression, il n’en est que le serviteur. À Charlie Hebdo, la liberté d’expression ne devait pas servir à régler des comptes avec ceux qui voulaient notre mort. La seule réponse à leur donner était la créativité. Plus le journal serait inventif et drôle, plus nous nous placerions du côté de la vie et repousserions vers le néant ceux qui voulaient nous y voir sombrer.
Malgré les mesures de sécurité mises en place par la police après l’incendie en 2011, le goût pour la vie nous fit oublier l’angoisse de la mort. Un mois avant le 7 janvier, je demandais à Charb si sa protection avait encore un sens. Les histoires de caricatures, tout ça, c’était du passé, c’était derrière nous. Mais la religion ne connaît pas le temps. Elle ne compte pas en années ou en siècles, car elle ne connaît que l’éternité. À Charlie, on croyait que du temps avait passé et que l’oubli avait fait le reste. Mais un croyant, surtout fanatique, n’oublie jamais l’affront fait à sa foi, car il a derrière lui et devant lui l’éternité. C’est ce qu’on avait oublié à Charlie. C’est l’éternité qui nous est tombée dessus, comme la foudre, ce mercredi 7 janvier.
Ce matin-là, après le bruit assourdissant d’une soixantaine de coups de feu tirés en trois minutes dans la salle de rédaction, un immense silence envahit la pièce. Plus un mot, plus un bruit. Plus rien, à part l’odeur âcre de la poudre. J’espérais entendre des plaintes, des gémissements. Mais non, pas un son. Ce silence me fit comprendre qu’ils étaient morts. Allongé sur le sol, les yeux rivés sur le plafond, je pris conscience que tout Charlie était mort. Cette fois, Charlie était vraiment mort. Je tirais avec mes pieds la chaise où, cinq minutes auparavant, Charb était assis, afin de placer mes jambes en position haute comme on me l’avait appris en cours de secourisme. Nicolino était le seul à gémir dans ce silence interminable. On l’entendait par intermittence appeler à l’aide. Et lorsque enfin un pompier m’aida à me relever, et après avoir dû enjamber Charb allongé à mes côtés, je m’interdis de tourner la tête vers la pièce pour ne pas voir les morts de Charlie. Pour ne pas voir la mort de Charlie.
Après le 7 janvier, beaucoup nous ont regardés comme si nous étions des zombies, à moitié morts, à moitié vivants. Charlie décimé bougeait encore un peu. Dans cette période terrible qui suivit les attentats, des esprits délicats eurent l’élégance de prétendre que, de toute manière, vu la situation financière du journal en 2014, la mort de Charlie était programmée. Selon ces ordures, Charlie sans le 7 janvier n’aurait eu que quelques mois à vivre. Bref, le 7 janvier avait été notre chance puisque d’un seul coup la France entière se mit à lire Charlie. Imaginez l’effet que la lecture de tels propos peut faire sur ceux qui essayaient de se relever. Une fois de plus, l’existence de Charlie était une anomalie. Même dans ces moments cauchemardesques.
On nous demande souvent : « Mais comment pouvez-vous faire le journal après tout ça ? » Comment ? C’est tout ce qu’on a vécu depuis vingt-trois ans qui nous en donne la rage. Jamais on n’a eu autant envie de casser la gueule à tous ceux qui ont rêvé de notre disparition. Ce ne sont pas deux petits cons encagoulés qui vont foutre en l’air le travail de nos vies, et tous les moments formidables vécus avec ceux qui succombèrent. Ce n’est pas eux qui verront crever Charlie. C’est Charlie qui les verra crever. L’année 2015 fut l’année la plus terrible de toute l’histoire de Charlie Hebdo, car elle fit subir le pire supplice pour un journal d’opinion : mettre à l’épreuve nos convictions. Allaient-elles être suffisamment fortes pour nous donner l’énergie de nous relever ? Vous avez la réponse entre vos mains. Les convictions des athées et des laïcs peuvent déplacer encore plus de montagnes que la foi des croyants,
Danke für den Link und ja, sie schlingert sichtlich in ihren Begründungsversuchen die hier mal ehr in die eine und da mal eher in die andere Richtung ausfallen. Aber die ziemlich deftige U-Boot-Theorie gerade aus Deinem Munde verwundert mich ein wenig. Denn ich beobachte in den letzten Monaten nicht ohne gewisse Verwunderung, wie Du den überwiegend moslemischen Flüchtlingsstrom argumentativ ziemlich deutlich flankiert und gegen jegliche Vorbehalte recht rückhaltlos verteidigt hast und zwar trotz Deines begnadeten Scharfsinns und Deiner Prognosesicherheit die Du an an anderen Stellen oft beweist. Das was hier nun langsam in der konkreten Ausprägung bekannt wird, also eine sachimmanente Problemstellung, das ist doch weiß Gott keine Überraschung. Jeder der sich in einem Umfeld mit einer deutlichen Zahl von Migranten bewegt kennt doch die selbstverständliche Verachtung unserer Gesellschaft bei vielen (vor allem jungen) Männern. Wenn ich in Moabit gelegentlich mal einen Strafrechtsfall mache, dann sehe ich gefühlt fast nur Migranten in den Fluren sitzen und die sitzen da nicht etwa mit demütiger angstvoller Mine ob der Verhandlung die sie da erwartetsondern breitbeinig und mit dickem Grinsen. Jedes Mal tun mir nach so einem Termin die dort regelmäßig tätigen Juristen leid, denn das deprimiert ohne Ende.
Wenn ich Dich jetzt richtig verstehe ist auch Dein Punkt plötzlich, dass selbst eine Frau Kaddor zu sehr relativiert und wir es mit einem Grundsatzproblem bei moslemischen Männdern zu tun haben?! Also ich finde Frau Kaddor erfrischend deutlich im Vergleich zu den meisten anderen Islamwortführen. Dass mich Frau Kadoor regelrecht begeistert, das kann ich nicht sagen, das trifft eher auf Leute wie Hamed Abdel-Samad und ähnliche Kaliber zu. Gestern hab ich mir die lange Doku zu Charlie Hebdo auf Phönix angeguckt und da gab es auch einige sehr deutlich werdende Kritiker.
Als Islam-U-Boot würde ich sie jetzt auch nicht unbedingt bezeichnen, aber mit ihrer Aussage hat sie hier voll ins Klo gegriffen, wie viele andere auch. Der Artikel in der NZZ ist hingegen ein Lichtblick. Vielleicht auch deshalb, weil man von außen (Schweiz) besser die Gesamtlage sieht und vor allem nicht gleich Gefahr läuft, in irgendwelche Lager geschoben zu werden.
Nobody eine (rückhaltlose) Flankierung des Flüchtlingsstroms vorzuwerfen, ist IMHO falsch, da er auch immer wieder darauf hingewiesen hat, dass sich die Flüchtenden zu benehmen und an geltendes Recht zu halten haben und wir dieses Recht nicht beugen dürfen.
Zudem halte ich das Aufnehmen von Flüchtlingen aus Kriegsgebieten als eine Art Menschenpflicht. Sicherlich wurden im Umgang Fehler gemacht und man hat, durch das Öffnen der Türen auch das Signal für noch mehr Zufluss gegeben, die Menschen dort sind ja schließlich auch untereinander vernetzt. Das zu stoppen oder zu begrenzen, wird nicht einfach sein, denn das Signal „Frau Merkel hat uns eingeladen“ kam dort durchaus so an. Das habe ich mir in der Notaufnahmeeinrichtung, die bei uns mehrere Wochen im Kreisgebiet war oft anhören können. Wer soll es ihnen verdenken, dass sie sich auf den Weg machen, nach mehreren Jahren Krieg und stärker werdender Perspektivlosigkeit und dann auch noch mit sinkenden Unterstützungen durch die großen Hilfsorganisationen vor Ort, weil die eben nicht ausreichend Geld bekommen. Ich würde das wahrscheinlich auch so machen.
Das man sich bei der Masse auch Probleme mit ins Land holt, war wohl auch klar, aber haben die Vorkommnisse in Köln und den anderen Städten wirklich etwas mit den Flüchtlingen zu tun, selbst wenn, und da gehen die Berichte ja auseinander, (frisch eingereiste) Syrer beteiligt gewesen sein sollen.
Es geht wohl eher darum, wie man mit den Kulturkreisen langfristig umgeht und ob nicht zuviel Toleranz irgendwann zur Ignoranz der eigenen Werte führt. Das hat nichts mit kultureller Vielfalt zu tun.
Auch ich kenne die breitbeinigen arabischen/nordafrikanischen Poser aufm Amt, die sind meist schon länger da oder teilweise sogar schon hier geboren. Da hat Integration nicht geklappt und wird oftmals nicht mehr klappen.
Dass es offensichtlich ein Defizit in der Auswirkung von Straftaten auf den Aufenthaltsstaus gibt (hab gehört 3 Jahre Freiheitsentzug ändert erst etwas daran, konnte aber keine rechtliche Grundlage dazu finden) dürfte sich bei kleinkriminellen Intensivstraftätern neben der zeitlichen Komponente zwischen Straftat und möglicher Verurteilung ebenso bemerkbar („Ihr könnt mir gar nichts“ (so sitzen sie nämlich dann auch auf dem Flur)) machen.
Ich erlebe aber auch ein Bürgerengagement, das sicherlich überall in Deutschland anders ausgeprägt ist, aber doch oft den Flüchtenden entgegenkommt und versucht eben eine bessere Integration hinzubekommen, als bisher. Und eben bei vielen Syrern wird dies auch gut angenommen, bei uns in der Region zumindest. Die „Syrer“ sind aber auch keine homogene Gruppe, hier gibt es westlichere, wie auch die „religiöseren“ Gruppen. Die jungen Männer und ihr kulturelles und problembehaftetes Weltbild, wie auch die jungen Familien(väter), die einfach nur dankbar sind, dass ihnen keine Bomben mehr auf den Kopf fallen und sie nicht um Essen betteln müssen.
Fatal wäre es jetzt, die Personen hier alleine zu lassen und in den Flüchtlingsheimen und Unterkünften „versauern“ zu lassen. Dann, wenn man nichts zu tun hat und sich nicht willkommen fühlt, kommt man sicherlich verstärkt auf dumme Gedanken oder lässt sich schlimmstenfalls radikalisieren.
Joachim Güntner sagt es richtig, man darf nicht relativieren, sondern muss differenzieren und danach dann auch handeln.
Bestens vernetzte und (staatlich) geförderte Frau …
Ihre Förderung erfolgt hoffentlich unter anderem mit der Absicht, die Religionsbildung junger Menschen nicht (noch) weiter in den Schattenbereich abgleiten zu lassen und Schadensbegrenzung zu betreiben.
Wenn Hr. Dr. Lammert sich als Gallionsfigur hergibt, liegen die Gründe scheinbar auf der Hand.
Das der „Vom Kopf stinkende Fisch“ das eigentliche Problem ist, wird wiederum vernachlässigt …
Religionen sind die Geisel der Menschheit!
Dieses Interview ist im Zusammenhang Sexualität & Islam sehr interessant:
http://jungle-world.com/artikel/2014/51/51104.html
PS: Ich weiß… linksextreme Zeitung. Aber was der Befragte sagt ist in meinen Augen hochinteressant.