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kosmologelei

~ über gott und die welt

kosmologelei

Tagesarchiv 7. Januar 2016

Koran-Idioten

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, News, Politik

≈ 4 Kommentare

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Bücher, Islam, Schweiz

Die schon wieder 🙄 User Gunnar hat sie ja heute gelobt. Ich denk … sach ma nix … aber nun kommt sie nobody selbst zu Hilfe: Lamya Kaddor
kaddor
… angeblich liberale Islam-Geleerte … die Tussi ist brandgefährlich, weil sie den Koran und Islam ver­niedlicht der nächsten Gene­ration von Ter­ror-Koranisten nä­her­bringen will. Dieses üble Islam-U-Boot heute im Schweizer Taggi zu Sil­ves­ter in Köln: „Den Tätern ging es vor allem um Diebstähle. Die sexu­ellen Über­griffe waren ein Ablen­kungs­manöver, um die Frauen aus­rauben zu können.“ Fängt schon gut an … und falsch … Woher weiß die Tante das? Aber wird noch besser:

    Wenn wir schon von massen­haften sexuellen Übergriffen sprechen, müs­sen wir fest­stellen, dass wir das in Deutschland schon längst kennen. Beim Ok­to­berfest in München oder beim Kölner Karneval kommt es gehäuft vor, dass stark alkoho­lisierte und enthemmte deutsche Männer Frauen se­xuell be­drän­gen und belästigen. Aber das wird gerne als Kollateral­schaden dieser Veran­staltungen abgetan. Es gibt keinen Unterschied zwischen der einen sexuellen Gewalt und der anderen.

Dazu Joachim Güntner in der NZZ:

    will uns Kaddor wirklich weismachen, solche Übergriffe wie die von Silvester gehörten zu den Üblichkeiten in Deutschland? Als ob ein Bahnhofs­vorplatz ein Bier­zelt auf dem Schützenplatz sei, als hätten sexuelle Attacken so­gar ge­gen Poli­zis­tinnen Tradi­tion, als sei die Zusammen­rottung von Hunderten von Männern, die Frauen in aller Öffent­lichkeit begrab­schen und anpöbeln, alt­be­kannt. Wir hätten es also nicht mit der unerhörten Etablie­rung eines rechts­freien Raumes mit­ten im Stadt­zentrum zu tun, wobei die Dreistig­keit sich nur erklären lässt, wenn man auch die Fremd­heit der Täter in den Blick nimmt – ihre Fremd­heit gegenüber dem, was zu den kulturellen (und rechtlichen) Nor­men der deutschen Zivil­gesellschaft gehört? Man darf schon staunen über Kaddors Expertise.

Joachim Güntner, ein Kenner der deutschen Szene, hat noch ein Episödchen zu bieten:

    Eine kleine Geschichte zum Schluss. Leipzigs bester Techno-Tempel nennt sich «Institut für Zukunft». Man ist dort liberal und pro­gressiv auf jene Wei­se, wie es sich für die Szen­e gehört, Kondome gibt es bei Bedarf kosten­los an der Garde­robe (ein Schild weist extra darauf hin), migran­ten­freund­lich möchte man auch sein. Dass in der Nähe gerade ein Zelt­lager für Flücht­lin­ge entstand, hatte sich herum­gesprochen. Also spen­dierten die Veran­stal­ter in der Ad­vents­zeit interes­sierten Flücht­lingen freien Eintritt.
    So voll mit arabischen und afrikanischen Männern hat man den Laden nie zu­vor gesehen. Lauter Techno-Neulinge, die nicht wussten, dass die leich­te Be­klei­dung der Tänzerin­nen keine Ein­ladung zum Begrabschen ist, und die nicht verstehen woll­ten, dass ein weib­liches «No» tat­säch­lich Nein bedeu­ten kann. «So macht feiern keinen Spass», berich­tete andern­tags eine Freun­din der andern, gräss­lich sei es gewe­sen. Dabei hat­ten sie sich doch bis­her als unbe­ding­te An­hängerin­nen der Will­kommens­kultur gese­hen! Aber wie das so ist, wenn die Reali­tät einmal ganz nah, körper­nah, ihre Schat­ten­seiten zeigt – man lernt dazu und kommt ins Grübeln.

Und nobody bietet der Trulla was von Riss, dem Chef von Charlie Hebdo zum Jahrestag des Anschlags in Paris, sein gestriges Editorial … komplett 😛

    CRÈVE, CHARLIE ! VIS, CHARLIE !
    charliehebLe 7 janvier 2015, vers 11 h 35, quelque chose de particulier est arrivé. Quelque chose qu’on avait imaginé, mais jamais réellement envisagé. En 2006, quand Charlie publia les caricatures de Mahomet, personne ne pensait sérieusement qu’un jour tout ça finirait dans la violence. Il n’était pas pensable qu’au XXIe siècle, en France, une religion tue des journalistes. On voyait la France comme un îlot laïc, où il était possible de déconner, de dessiner, de se marrer, sans se préoccuper des dogmes, des illuminés. Sans non plus se soucier des lâches et des faux amis qui nous ont toujours regardés de haut quand on caricaturait les religions. Tous ceux qui nous donnaient des leçons pour mieux dissimuler leur veulerie.
    La vérité, c’est que, dès cette époque, beaucoup espéraient qu’un jour quelqu’un viendrait nous remettre à nos places. Oui, beaucoup ont espéré qu’on se fasse tuer. TU-ER. Parmi eux, des fanatiques abrutis par le Coran, mais aussi des culs-bénits venus d’autres religions, qui nous souhaitaient l’enfer auquel ils croient, pour avoir osé rire du religieux. Sans oublier ce marigot d’intellos aigris, de chroniqueurs insipides et de journalistes jaloux, qui font bien gaffe où ils mettent les pieds sur le chemin de leur carrière en évitant soigneusement de dire quelque chose de sincère. Cette nef de fous et de lâches souhaitait notre mort. Les religieux parce qu’on avait blasphémé, les autres parce que Charlie Hebdo avait toujours été une anomalie dans le paysage médiatique français.
    Les créateurs de Charlie, Cavanna, Choron, Gébé, Cabu, Wolinski, Willem, étaient des marginaux mais avec un talent béni des dieux. Eux qui ne croyaient pas en Dieu. On ne peut créer ce qu’ils ont créé, écrire ce qu’ils ont écrit, dessiner ce qu’ils ont dessiné qu’en se foutant de tout. D’abord, de Dieu, et ensuite du reste. Rien à foutre de plaire au plus grand nombre, de séduire les masses tristes et de charmer les diplômés ennuyeux. Rien à foutre de rien. En tout cas du maximum possible. C’est ainsi qu’il a fallu faire Charlie pendant des années. En ne pensant qu’au plaisir de se retrouver ensemble le mercredi matin pour parler et déconner de tout, seule manière d’oublier ceux qui souhaitaient notre mort.
    À Charlie, on a souvent pensé à la mort. D’abord, la mort économique. Quand le Charlie Hebdo de la première époque rendit l’âme, en 1982, ruiné, un quotidien avait titré « Crève, Charlie ! ». Toute la presse avait chié sur « Charlie-Hebdo ». C’était le titre du dernier numéro, car c’était la vérité. Ce journal ne méritait plus d’exister, il n’intéressait plus personne, il n’avait pas su se renouveler, etc. Les croque-morts se bousculaient au portillon pour être celui qui clouerait la planche sur le cercueil de Charlie Hebdo.
    La mort a toujours fait partie de ce journal. Sa reparution en 1992 fut presque contre nature. Un journal qui avait rendu l’âme dix ans plus tôt n’avait pas le droit de vivre à nouveau. Il s’ensuivit un procès suscité par Choron, qui gueulait à qui voulait l’entendre que Charlie était mort et que, lui vivant, il ne reparaîtrait jamais. Puis ce fut ces procès innombrables à l’initiative de cathos fanatiques qui auraient aimé nous faire succomber économiquement. Malgré leur acharnement et des dizaines de procès débiles pour des dessins sur le petit Jésus ou la Sainte Vierge, le journal, comme le canard, courait encore.
    Les premiers numéros de Charlie Hebdo auxquels nous participâmes, Charb, Luz, Tignous, Honoré, Bernard, Cabu et moi, étaient angoissants, car nous ne savions pas si le journal allait vivre bien longtemps. Quand, au bout de deux ans d’existence fragile, nous atteignîmes le numéro 100, on n’en croyait pas nos yeux. On était encore vivant. Et, à l’issue de chaque année écoulée, nous nous émerveillions d’être toujours en vie. J’ai toujours travaillé depuis le premier jour de sa reparution, en 1992, avec l’idée que tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain. Que le journal pouvait disparaître aussi vite qu’il était réapparu, en moins d’une semaine. Je n’ai jamais considéré le privilège de s’exprimer dans un journal, dans cette démocratie, comme un dû. Rien ne nous est dû. Créer un journal a toujours été extraordinairement difficile, depuis Louis-Philippe, qui faisait emprisonner les journalistes et les dessinateurs, jusqu’à de Gaulle, dont les godillots censuraient ceux qui osaient en rire.
    Le journaliste n’est pas propriétaire de la liberté d’expression, il n’en est que le serviteur. À Charlie Hebdo, la liberté d’expression ne devait pas servir à régler des comptes avec ceux qui voulaient notre mort. La seule réponse à leur donner était la créativité. Plus le journal serait inventif et drôle, plus nous nous placerions du côté de la vie et repousserions vers le néant ceux qui voulaient nous y voir sombrer.
    Malgré les mesures de sécurité mises en place par la police après l’incendie en 2011, le goût pour la vie nous fit oublier l’angoisse de la mort. Un mois avant le 7 janvier, je demandais à Charb si sa protection avait encore un sens. Les histoires de caricatures, tout ça, c’était du passé, c’était derrière nous. Mais la religion ne connaît pas le temps. Elle ne compte pas en années ou en siècles, car elle ne connaît que l’éternité. À Charlie, on croyait que du temps avait passé et que l’oubli avait fait le reste. Mais un croyant, surtout fanatique, n’oublie jamais l’affront fait à sa foi, car il a derrière lui et devant lui l’éternité. C’est ce qu’on avait oublié à Charlie. C’est l’éternité qui nous est tombée dessus, comme la foudre, ce mercredi 7 janvier.
    Ce matin-là, après le bruit assourdissant d’une soixantaine de coups de feu tirés en trois minutes dans la salle de rédaction, un immense silence envahit la pièce. Plus un mot, plus un bruit. Plus rien, à part l’odeur âcre de la poudre. J’espérais entendre des plaintes, des gémissements. Mais non, pas un son. Ce silence me fit comprendre qu’ils étaient morts. Allongé sur le sol, les yeux rivés sur le plafond, je pris conscience que tout Charlie était mort. Cette fois, Charlie était vraiment mort. Je tirais avec mes pieds la chaise où, cinq minutes auparavant, Charb était assis, afin de placer mes jambes en position haute comme on me l’avait appris en cours de secourisme. Nicolino était le seul à gémir dans ce silence interminable. On l’entendait par intermittence appeler à l’aide. Et lorsque enfin un pompier m’aida à me relever, et après avoir dû enjamber Charb allongé à mes côtés, je m’interdis de tourner la tête vers la pièce pour ne pas voir les morts de Charlie. Pour ne pas voir la mort de Charlie.
    Après le 7 janvier, beaucoup nous ont regardés comme si nous étions des zombies, à moitié morts, à moitié vivants. Charlie décimé bougeait encore un peu. Dans cette période terrible qui suivit les attentats, des esprits délicats eurent l’élégance de prétendre que, de toute manière, vu la situation financière du journal en 2014, la mort de Charlie était programmée. Selon ces ordures, Charlie sans le 7 janvier n’aurait eu que quelques mois à vivre. Bref, le 7 janvier avait été notre chance puisque d’un seul coup la France entière se mit à lire Charlie. Imaginez l’effet que la lecture de tels propos peut faire sur ceux qui essayaient de se relever. Une fois de plus, l’existence de Charlie était une anomalie. Même dans ces moments cauchemardesques.
    On nous demande souvent : « Mais comment pouvez-vous faire le journal après tout ça ?  » Comment ? C’est tout ce qu’on a vécu depuis vingt-trois ans qui nous en donne la rage. Jamais on n’a eu autant envie de casser la gueule à tous ceux qui ont rêvé de notre disparition. Ce ne sont pas deux petits cons encagoulés qui vont foutre en l’air le travail de nos vies, et tous les moments formidables vécus avec ceux qui succombèrent. Ce n’est pas eux qui verront crever Charlie. C’est Charlie qui les verra crever. L’année 2015 fut l’année la plus terrible de toute l’histoire de Charlie Hebdo, car elle fit subir le pire supplice pour un journal d’opinion : mettre à l’épreuve nos convictions. Allaient-elles être suffisamment fortes pour nous donner l’énergie de nous relever ? Vous avez la réponse entre vos mains. Les convictions des athées et des laïcs peuvent déplacer encore plus de montagnes que la foi des croyants,

Madaya

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Essen+Trinken, Klatsch, News, Politik

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5. Kolonne, Menschen, Syrien, Terror, Troll, Video

Madaya im von der Hizbollah kontrollierten Südwesten Syriens wird seit Mo­na­ten von den Truppen von Fassbomben-Kegler Assad und der Hizbollah be­la­gert. 40 bis 50.000 Menschen hungern sich zu Tode und leben inzwischen von gekochtem Grass und Blät­tern. Assad hat heute zugestimmt, dass die UN einen Hilfskonvoi in die Stadt schickt. Schreibt sogar SPUTINKI: „The Syr­ian go­vern­ment on Thursday agreed to allow the United Nations to deliver humanitarian aid to three besieged Syrian cities, the UN said in a statement.“ Nur in die griechische Matschbirne von Georgios Geladaris aus Wuppertal und die Hohl­kör­per seiner völlig verblöde­ten Jün­ger auf der Popotanz­schau will das nicht rein. Schorsch fa­selt statt­dessen was da­von, dass die Stadt von Ahrar al-Sham-Terro­risten gehal­ten wird. Madaya liegt im Al-Zabadani Dis­trict. Dort hat sich Al Nusra mit der FSA verbündet. Den verhungernden Kindern wird das aber wurscht sein.

Desinformator Schorsch empfiehlt seiner verblödeten blökenden Herde, sie möge sich bei SANA oder FARS NEWS „informieren“. Na da wissen wir wenigsten, wo­her Georgios seine Infos bezieht.

Schmarotzerpack

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, News, Politik

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Europa, Geld, Integration, Slowakei

CHARTA DER GRUNDRECHTE DER EUROPÄISCHEN UNION
Artikel 20 Gleichheit vor dem Gesetz

Alle Personen sind vor dem Gesetz gleich.

Artikel 21 Nichtdiskriminierung

(1) Diskriminierungen insbesondere wegen des Geschlechts, der Rasse, der Hautfarbe, der ethnischen oder sozialen Herkunft, der genetischen Merkmale, der Sprache, der Religion oder der Weltanschauung, der politischen oder sonstigen Anschauung, der Zugehörigkeit zu einer nationalen Minderheit, des Vermögens, der Geburt, einer Behinderung, des Alters oder der sexuellen Ausrichtung sind verboten.

Artikel 18 Asylrecht

Das Recht auf Asyl wird nach Maßgabe des Genfer Abkommens vom 28. Juli 1951 und des Protokolls vom 31. Januar 1967 über die Rechtsstellung der Flüchtlinge sowie nach Maßgabe des Vertrags über die Europäische Union und des Vertrags über die Arbeitsweise der Europäischen Union (im Folgenden „die Verträge“) gewährleistet.

Wie die ZEIT berichtet, will die Slowakei muslimische Flüchtlinge nicht mehr ins Land lassen. Dabei haben die Slowaken 2015 auch so viele aufgenommen: 169 Menschen beantragten 2015 Asyl, acht Menschen wurde es genehmigt … 😯 Wow! Die ZEIT weiter: Regierungschef Fico nimmt die Übergriffe in Köln zum Anlass, um die Aufnahme von Muslimen zu stoppen. Integration sei unmöglich. Auch humanitäre Hilfe wird eingestellt.

Recht hat er! Die Integration der Slöwakei in die EU ist unmöglich. Raus mit dem Schmarotzerpack! Die brauchen unser Geld. Wir brauchen die nicht. Über den Rassimus der Slowaken könnten meine Eltern mehr als ein Liedchen singen, wenn sie noch leben würden.

Übrigens, ihr Schmarotzer, die EU-Charta gibt es auch auf slowakisch 👿

Hann Spetzebötzjer an

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, Kultur, Musik

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Integration, Sex, Video

Für viele Gäste, die nicht in Kenntnis dessen, was sie am Rosenmontag er­war­tet, nach Köln kömmen, muss es ein Kulturschock sein. nobody kann das nach­voll­ziehen, denn ich Jeck bin vor vielen Jahren ausgerechnet an Wieverfasteleer nach Köln gefahren, um mich am OLG um eine Referendarstelle zu bewerben. Da haben auch vier Jahre Bonn nicht geholfen … das war ein Kulturschock. Ich kann mir gut vorstellen, dass viele Flüchtlinge das ausgelassene Treiben in den Straßen missverstehen und für eine Massenorgie halten, bei der man mal mit­mi­schen kann. Da sind sie auf dem Holzweg, oder um es mit dem fussich Julche zu sagen:

    Denn mir sin kölsche Mädcher
    Hann Spetzebötzjer an
    Mir lossen uns nit dran fummele
    Mir lossen keiner dran.


Mir sin fazünglich jeck! Das sollte man den neuen Gästen mal verklickern, gelle!?

Im Schweiße meiner Füße

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch

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Medien

Ich habe heute nicht nur 80 Cent der BLÖD in den Rachen geworfen, sondern auch im Schweiße meiner Füße den Einsatzbericht abgetippt 😎 Und nun ver­öf­fent­licht ihn die WELT in ganzer Länge 😦 Wozu die Arbeit …

Alle lügen

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, Musik, News

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Integration, Recht

NarrenkappeDie Kölner Bullizey hat heute Vormittag zum Bes­ten gegeben, man wolle nun gar nix mehr zu Silvester sagen. Angeblich aus Respekt vor dem Parlament, denn der Land­tag will einen Stuhl­­­kreis, aka Untersu­chungs­aus­schuss ein­richten. Ist viel­leicht besser so, wenn die Grünen die Schnauze halten, denn nun lügen alle.

Ein anonymer „Polizeiführer“ soll dem Express gesagt haben, man habe noch in der Grusel-Nacht 100 Verdächtige vorläufig festgenommen. Wie denn, wo denn? Hat keiner gesehen. Waren auch keine grünen Minnas vor Ort und in der Stolk­gasse ist keiner angekommen.

Ein anderer Grüner erzählt, man habe knapp 20 Personen festgenommen und mit Bindern gefesselt und nach eineinhalb Stunden wieder laufen lassen müssen, weil keine Minna da war.

Der ominöse „Polizeiführer“ verzällt was von 14 Syrern, die erst seit Kurzem in Schland seien. Alle anderen Grünen sagen, er waren vorwiegend Nordafrikaner. Wahscheinlich haben die den Syrern schnell das Antanzen beigebracht.

Der PP Albers sagt, es ging ums Klauen. Sein PD Temme sagt, es ging um Sex. Was sagen die Zahlen? Inzwischen über 120 Anzeigen, davon über 70 Sex, der Rest Diebstahl und Mischmasch.

Wenn ich auf meinen ersten Artikel zu diesem Thema zurückblicke, dann war der wahrer als alles andere, was in der Zwischenzeit so offiziell verlautbart wur­de. Und wieder bewahrheitet es sich, dass Lügen kurze Beine haben und es ein­facher ist, bei der Wahrheit zu bleiben. Muss man später nicht so viel rich­tig­stellen 🙄

Nach meinen Infos wurden ca. 18 Personen an Silvester/Neujahr festgenommen und 5 am Sonntag. Bis auf 2 sind wieder alle frei, 2 in Ossendorf. Über die Na­tio­nalität der 18 (?) wurde nix bekannt, aber vom Fünfen existieren Fotos und demnach sind das zweifelsfrei Maghrebiner.

D’r Zoch kütt!

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, Kultur

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Gedenktage, Integration, Menschen

Keine Angst vor Karneval in Kölle. Man muss es mal erlebt haben und warum nicht am Rosenmontag 2016. Am 8. Februar werden eine Millionen Menschen zum Zock in Köln erwartet. Hier ein paar Tipps von einem ehemaligen Imi.

Der Zug startet um 10.11 Uhr an der Severinstorburg und schlängelt sich dann sieben Kilometer über die Severinstraße, Neumarkt, Mittelstraße, Rudolfplatz, Friesenplatz, Magnusstraße, Altstadt, Kölner Dom zur Mohrenstraße. Da der Zug länger als der Zugweg ist, kommt sein Ende am Dom erst an, wenn es schon dunkel ist. In dieser Karte hat nobody in Grün die Stellen eingezeichnet, wo er immer gestanden hat, als der Zoch noch in die entgegengesetzte Richtung lief (Krebsgasse und Breite Straße, wo es so schön knubbelig war, sind ja leider nicht mehr dabei)
Zugweg
Am Appellhofplatz (kurz vor der Tunisstraße) werden sie sicher ein paar von der „Lügenpresse“ beim Schunkeln treffen (WDR und Stadtanzünder). Meiden Sie den Hohenzollernring und die Brückenstraße. Unabhängig von den Vor­komm­nis­sen an Silvester ist die vor den Bauch geschnallte Gürteltasche …
guerteltasche
eine bessere Idee als die Geldbörse am Hintern. Taschendiebe hatten an Kar­ne­val schon immer Hochsaison in Köln. In diesem Sinne: Kölle Alaaf!

PS: Ach ja, es kann kalt werden, also warm einpacken.

Einsatzbericht

07 Donnerstag Jan 2016

Posted by Nobody in Klatsch, News, Politik

≈ 7 Kommentare

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Integration, Medien, Recht

bloedeDer BLÖD wurde ein vertraulicher Ein­satz­be­richt der Polizei zugespielt, der die Zustände rund um den Köl­ner Hauptbahnhof in der Si­lves­ternacht doku­men­tiert. nobody hat sich doch heute tat­säch­lich des­we­gen die BLÖD gekauft (80 Cent) und zitiert:

    Schon bei der Anfahrt zur Dienst­stelle an den HBF Köln wurden wir von auf­ge­regten Bürgern mit weinenden und geschockten KIndern über die Zustände im und um den Bahnhof informiert. Am Vorplatz (Dompropst-Ketzer-Str.) an­ge­kommen, wurden unsere noch nicht abgestellten Fahrzeuge mit Böllern be­wor­fen. Am Vorplatz und der Domtreppe befanden sich einige Tausend meist männ­liche Personen mit Migrationshnter­grund, die Feuer­werks­körper jeglicher Art und Flaschen wahllos in die Menschenmenge feuerten bzw. warfen.

    Am Parkraum angekommen, liefen viele aufgewühlte Passanten auf die Ein­satz­kräfte zu und berichteten u.a. über die oben geschilderten Zustände und über Schlägereien, Diebstähle, sex. Übergriffe an Frauen usw. … Selbst das Erscheinen der Polizei­kräfte und getroffene Maßnahmen hielten die Massen nicht von ihrem Tun ab, sowohl vor dem Bahn­hof, wie auch im Bahn­hof Köln.

    Gegen 22:45 Uhr füllte sich der gut gefüllte Bahnhofsvorplatz und Bahnhof weiter mit Menschen mit Migrationshintergrund. Frauen mit Begleitung oder ohne durchliefen einen im wahrsten Sinne des Wortes „Spießrutenlauf“ durch die stark alkoholisierten Männermassen, wie man es nicht beschreiben kann …

    Nach Rücksprache mit der Gesamteinsatzleitung der Landespolizei, ent­schlos­sen wir uns aufgrund der erheblichen Gefährdung aller Personen und Sachen, den Bereich der Domtreppe über den Bahnhofs­vorplatz in Richtung Dompropst-Ketzer-Str. zu räumen … Die Räumung begann ca. 23:30 Uhr oberhalb der Domtreppe in Richtung des Vorplatzes … Im Verlauf der Räu­mung wurden die Einsatzkräfte Land und Bund immer wieder mit Feuer­werks­kör­pern beschossen und mit Flaschen beworfen … Erschwerend bei der Räu­mung neben der Verständigung waren die körperlichen Zustände der Per­so­nen auf­grund des offensicht­lichen massiven Alkoholgenusses und an­de­rer berauschender Mittel (z.B. Joint). Ende der Räumung ca. 00:15 Uhr.

    Im weiteren Einsatzverlauf kam es immer wieder zu mehrfachen körperlichen Auseinandersetzungen vereinzelter Personen wie auch Personengruppen, Diebstählen und Raubdelikten an mehre­ren Einsatz­orten gleichzeitig. Im Ein­satz­verlauf erschienen weinende und schockierte Frauen/Mädchen bei den einge­setzten Beamten und schilderten sex. Übergriffe duch mehrere männ­liche Migranten/ -gruppen. Eine Iden­tifizierung war leider nicht mehr möglich …

    Die Einsatzkräfte konnten nicht allen Ereignissen, Übergriffen,, Straftaten usw. Herr werden, dafür waren es einfach zu viele zur gleichen Zeit. Auf­grund der Vielzahl der o.a. Taten beschränkten sich die Einsatzkräfte auf die Lagebe­reinigung und die not­wendigsten Maßnahmen. Da man nicht jedem Opfer einer Straftat helfen und den Täter dingfest machen konnte, kamen die eingesetzten Beamten an die Grenze zur Frustration. Zu Spitzen­zeiten war es den eingesetzten Kräften nicht möglich, angefallene Strafan­zeigen aufzunehmen.

    Neben den oben geschilderten Situationen kamen noch folgende Er­eig­nis­se/ Vor­fälle, die hier nicht alle aufgeführt werden, hinzu:
    1. Zerreißen von Aufenthaltstiteln mit einem Grinsen im Gesicht und der Aus­sage: „Ihr könnt mir nix. Hole mir morgen einen neuen.“
    2. „Ich bin Syrer, ihr müsst mich freundlich behandeln! Frau Merkel hat mich eingeladen.“
    3. Platzverweise wurden meist mit Zwang durchgesetzt. Be­tref­fen­de Per­so­nen tauchten immer wieder auf und machten sich einen Spaß aus der Si­tua­tion. Ein Gewahrsam kam in dieser Lage aufgrund der Kapazitäts­grenze in der Dienststelle nicht in Betracht.
    4. …
    8. Wurden Hilferufe von Geschädigten wahrgenommen, wurde ein Ein­schrei­ten der Kräfte durch herumstehende (Mitglieder?) z.B. durch verdichten des Personenringes/Massenbildung daran gehindert, an die Betreffenden (Ge­schä­dig­te/Zeugen) zu gelangen.
    9. Geschädigte/Zeugen wurden vor Ort bei Nennung des Täters bedroht oder im Nachgang verfolgt …

    Auffällig war zudem die sehr hohe Anzahl an Migranten innerhalb der po­li­zei­lichen Maßnahmen … Maßnahmen der Kräfte begegneten einer Respekt­lo­sig­keit, wie ich sie in 29 Dienst­jahren noch nicht erlebt habe. Der viel zu ge­rin­ge Kräfte­einsatz … brachte alle eingestzten Kräfte ziemlich schnell an die Leistungsgrenze …

Wäre auch kürzer gegangen: Es waren zu viele … wir waren zu wenig!

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